I - Identité Nom: Dômyoji Prénom: Tsukasa Surnom: « Je ne veux même pas en entendre parler ! Reiko a cette manie de m'appeler... TsuTsu-kun ou Kasa-kun, mais je vais pas me plaindre sinon ce sera pire ! » Âge: 20 ans Orientation Sexuelle: Hétéro Personnage Prédéfini:Oui / Non Groupe: F4 Famille: « Je vis chez moi parfois avec la sorcière. Comment ça "c'est qui ça ?" ?! Imbécile, ma mère bien-sûr. Bien que parfois j'aimerai qu'elle sorte de ma vie, elle reste celle qui m'a mis au monde. J'ai aussi une grande soeur que je ne vois jamais. Bref, ma réelle famille se trouve être, d'autant plus maintenant, mes trois amis d'enfance et Reiko. »
II - Description
Un secret : « Parce que t'espères que je te le dise !? » Tsukasa a quelques points faibles, dont un : ses oreilles ! Sinon, à son sujet, peu de choses sont un secret ! Sauf la gentillesse dont il est réellement capable qui en redevient un secret par ces temps-ci. Ses Projets : Trouver enfin pourquoi elle l'a abandonné. Mais en même temps se renfermer dans son monde et rebalancer des cartons rouges est une chose devenant de nouveau séduisante hélas. S'assurer aussi que Reiko ira pour le mieux enfin avec le petit bout, Michio.
Physique: On va pas se le cacher, ni faire de détour timide et faussement modeste ou ignorant : Tsukasa est un beau jeune homme. Peu déplaisant à regardé si ça n'était son air agressif bien-sûr qui vous ôte l'idée de soutenir son regard et de le regarder quelque plus longtemps !
Le ténébreux dans toute son authenticité et splendeur non ? Avant d'aborder son allure, parlons de ce qui fait ce côté ténébreux justement. Déjà ses cheveux d’un noir tellement pur qu’ils représenteraient le noir pur si ça voulait dire quelque chose concrètement ! Ceux-ci attirent facilement l’attention, bouclés comme ils le sont, ce n’est pas fait banal ! Ils ne sont pas trop longs par conséquent… Du moins en apparence, allez lui lisser les cheveux et peut-être bien que leur longueur serait surprenante… Ensuite ses yeux qui collent eux aussi à la définition du brun dans sa grandeur : noirs. Très noirs ! Avec lui, un regard noir (voyez les répétitions) prennent deux fois plus de sens ! Ce qui explique la lourdeur ceux-ci. D’une forme ovale, étirée vers les côtés comme tout asiatique, ils en tirent alors un côté très perçant. Ceux-ci sont très souvent appuyés par l’expression de ses sourcils assez épais pour faire passer clairement un mécontentement ou son ennui ! Pourtant quand ceux-ci ne sont pas froncés obstinément, ses yeux peuvent laisser paraître cette lueur d’innocence qu’à tout de même le nippon. Même de la douceur quand il fut capable de témoigner… Ne comptez plus trop là-dessus n’empêche. Poursuivons, un visage aux courbes légères et dessinées comme au crayon pointu. Une peau de bébé, douce et bien lisse, laissant apparaître un teint parfois si pâle qu’on l’en croirait malade. Une bouche, légèrement rosée, pas trop grosse, filée si on peut dire, aux lèvres semblant bien douce et se montrant bien acerbes – si on peut dire toujours – quand de durs mots et mauvaises paroles les passent. Pourtant derrière celles-ci se cache un sourire innocent d’enfant qu’il ne montrera que très rarement à présent. Pour en boucler avec son visage, son nez, qui n’a rien de notable ! Heureusement pour lui. Un visage qu’on aimerait croire et dire angélique si on oubliait les expressions terribles dont elles sont le théâtre vivant ! Mais sinon… rien d’hideux au contraire, ses traits en seraient carrément presque efféminé si ça n’était pas son côté masculin qu’il se doit d’affirmer !
Passons au corps entier maintenant. Pour un japonais, Tsukasa n’a pas à se plaindre trop de sa taille. Même s’il s’avoue à lui-même qu’il aurait probablement adoré avoir la taille de ces américains, basketteurs ou même de ses voisins Coréens. Mais il est dans la moyenne des japonais de sa génération, ceux-ci arrivant à dépasser le mètre soixante-dix ! Mais qu’importe, grâce à sa finesse délicate, il s’élance facilement, semblant bien plus grand qu’il ne l’est en fait. Des jambes fines aussi tout aussi longues que son buste. Des bras fins qui ne laissent en aucun cas soupçonner la violence des coups du japonais quand il frappe. Quant à son torse, il se suffit de ne pas être maigre sans pour autant arborer tout un tas de muscles qui ne colleraient pas du tout, de toutes les façons, avec sa nature et son apparence globale. Alors aussi sait-il très bien s’en satisfaire tant que sa résistance reste la même. D’ailleurs, ce corps n’en a pas l’air, mais oui il est des plus résistants si bien qu’à plusieurs reprises il eut le droit d’être appelé « extraterrestre » ! Pourtant le Dômyoji est formé comme vous et moi !
Pour finir, abordons les styles vestimentaires du jeune homme. Classe. Evidemment ça ne vous surprendra pas sachant sa fortune ! Il passera pourtant par de nombreux genre dans ce même style. Les longs manteaux noirs et gris, comme les vestes de cuir noir ou rouge, jusqu’à une simple chemise ou veste de coton. Il met aussi souvent des marcels sous ses vêtements, comme sous ses chemises par exemple. Taillant ses bonnes épaules. Ses pantalons ont souvent les mêmes découpes, bien serrés jusqu’aux genoux se relâchant alors aux mollets sans pour autant faire pattes d’éléphant. Quoi d’autre ? Des fourrures ? Pourquoi parfois ! Ses chaussures ? Souvent de cuir bien ciré. Elles en brilleraient… Excentriques, dont la pointe est parfois remontée. Bref des chaussures que tous sauf n’importe qui peuvent s’acheter !
En somme, un brun qui pourrait être charmant s’habillant de façon classe et soignée avec une allure plutôt bonne mais un air suffisant à être distant.
Caractère: Vous êtes vraiment sûrs de vouloir connaître le caractère de Tsukasa ? J’en doute ! Vraiment ? Vous insistez ? Bon. Très bien, alors je n’ai plus qu’à plier sous la demande alors…
Si vous avez vécu Tsukasa depuis son entrée à Hana Gakuen jusqu’à maintenant à l’université, vous devez probablement vous poser deux questions à présent, si vous avez bouger au rythme de la majorité des élèves bien entendu : qu’est-ce qui lui prend et qui est-il réellement au final ? Je vais m’expliquer pour ceux qui n’en savent rien. Tsukasa Dômyoji est passé par deux caractères, dont un adouci. Ce par l’intervention d’une unique personne : Ayako Kato. Son histoire influence le rythme du changement de son caractère, si bien qu’il est rattaché à cette histoire. Laissez-moi le décrire tel qu’il était dans le passé, au tout début, d’abord, avant de parler de son changement soudain et d’aborder celui d’aujourd’hui. Mais vous verrez à la fin que certains de ses traits restent toujours les mêmes…
« ‘Cause I was like that… »
Tsukasa avant, il n’aspirait que la terreur. Autoritaire, ayez seulement la mauvaise idée de le gêner et c’était finit de votre peau. Et croyez bien qu’il se fiche qu’il serait triste d’abîmer un beau visage : Dômyoji Tsukasa n’avait pas d’état d’âme pour ce genre de choses. Faisant preuve d’autant d’exagération qu’il en était capable, le japonais se fâchait pour un rien. Une simple tâche, un regard de travers, une inattention ou pire : le simple fait d’être là s’il ne le souhaite pas vous mettait automatiquement sur sa liste noire, pour trouver un beau carton rouge dans votre casier. Du sadisme gratuit ? Et comment ! Le moyen de passer ses nerfs gratuitement, sans justification et personne pour vous dire le contraire. Faire régner ses désirs en maître. Tsukasa est un tyran en puissance. Mais ce n’est pas tout ! Violent en plus de ça. Parce que oui, il ne se suffisait pas de passer moralement ses nerfs sur les autres en criant, les mettant à bout et en leur faisant peur par tous les moyens. Non, avec ses victimes, il en arrivait bien souvent aux poings. Mais pas qu’avec eux : il suffisait qu’il soit énervé pour qu’il cogne le premier à faire un pas de travers. Ce qui lui vaut jamais de problèmes à lui sauf quand il s’accroche avec ses amis… Mais eux le connaissent. Que dire d’autre ? Sa prétention de l’époque ? Sans bornes ça vous ira comme définition ? C’était bien pire que ça ! Il est riche, se sait plutôt beau, il est héritier de la compagnie qui dirige l’économie du Japon et il règne en maître partout où il va… Quoi de mieux pour alimenter un égo ? Alors oui, il se vente être l’avenir du Japon ! Rien que ça, oui. La cerise sur le gâteau pour faire de lui un personnage détestable à souhait. Et les seuls raisons pour lesquelles on pourrait l’aimer se résumaient à trois possibilités : 1. L’appât du gain et de la fortune, les apparences avantageuses, bref tout ce qui est de l’ordre superficiel ! 2. La crainte pure et simple, 3. La folie… Sauf si vous êtes un de ses amis d’enfance bien-sûr. Seules exceptions qui peuvent réellement apprécier Tsukasa pour sa personne. Seules ? C’était sans compter quelqu’un d’autre… Mais parlons d’abord du Tsukasa d’avec ses amis. On découvre un adolescent maladroit et excentrique. Toujours nerveux mais présent pour ceux-ci. Ils pourraient tuer pour eux ! En fait, le Tsukasa du cercle privé est plutôt marrant : il a tendance à faire bon nombre d’erreurs avec son japonais étrange, il est très facile de lire sur ses émotions et ses mises en scène sont grotesques ! Qui s’en douterait ? Personne bien évidemment ! Et pourtant ce Tsukasa là est attachant. Il témoigne alors d’une grande innocence, ne se rendant pas compte de beaucoup de choses et agissant sur le coup. S’il n’avait pas ce caractère si dur, il serait si facile de le heurter au final. Oui, c’était ça le Tsukasa du passé. Un jeune homme cachant ses sentiments et une candeur derrière des apparences dures qui lui sont si plaisantes pour sauver les apparences et laisser personne lui marcher dessus, ayant une fierté à la mesure de son égocentrisme. Mais comme je l’ai dit plus tôt de ça : c’était sans compter une certain personne ça…
« …Like that, yeah, until I get to know her… » :: Cause I can’t stop thinking about you girl [ Super Junior – U ]
Elle… Elle l’avait tellement changé. En commençant par taper. Physiquement, certes, mais c’est dans son cœur qu’elle tapa surtout ! Brisant la pierre et semblant provoquer le premier battement de celui-ci… Douloureux au début de sentir ce cœur battre, si bien qu’il s’énerve contre elle, mais réagit aux fortes impulsions provoqués par ses battements devenant nombreux. « C’est comme recommencer à vivre. » aurait-il dit en cette période. Ayako Kato. En fait, oui, il aurait vraiment pu faire comme avec tout le monde, n’en avoir rien à faire mais non. Elle lui avait fait clairement comprendre qu’il était un idiot et s’intéressant progressivement à elle, il laisse tomber les carapaces… Laissant déjà apparaître l’innocence dont il peut faire preuve. Pire, il en vient à l’aider sans comprendre pourquoi, à être gentil… Attentionné, à l’aimer. Aimer ? Mince alors… Il avait tant mûrit que ça ? Il fallait croire. Il retira alors le premier carton rouge d’une grande série avant d’abandonner cette idée cupide. Maintenant, il agissait que pour son bonheur à elle. Et lui par le même biais. Il devenait si responsable d’ailleurs, faisant enfin utilité de son entêtement dans un courage pour aller à l’encontre de « la sorcière » et ce avec elle… cette fille. Devenant de plus en plus responsable qu’en entrant en seconde année à Tôdai, il la demande en fiançailles pour officialiser ses intentions, son amour pour elle. Pour sceller un bonheur certain. Rien est jamais certain il fallait croire…
« But now it belongs to the past, since she got out of my life all of the sudden. » :: Let’s never meet again [ Super Junior – Let’s Not ]
Sortie de sa vie, exactement. Sa fierté d’homme en prit un coup si bien qu’il n’y avait qu’une seule chose pour combler le vide de son cœur : la colère. Oui vous avez bien lu. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps avant de finalement se renfermer de nouveau et redevenir celui que personne pouvait atteindre et blesser : le Tsukasa Dômyoji du passé, celui qui n’avait jamais connu Kato Ayako. Puisque ça se jouait sans elle, autant qu’il en redevienne ainsi, que même elle ne l’approche plus. Sa colère dépassant tout : il tape de nouveau sur tous, les regards noirs retombent sur n’importe qui et le froid est givrant autour de lui. Il songe même à refaire tomber les cartons rouges comme la pluie tombe en Angleterre ! Si cela peut faire passer sa tristesse, sa colère… sa solitude.
Relations:Kato Ayako » Son ex petite-amie ? Au fond il ne la considère pas comme telle, et est très contrarié quand d'autres garçons lui parle. Il ne comprends pas ce qui s'est passé. Mais la voir chaque jour lui fend le cœur alors il l'évite c'est mieux que s'énerver contre elle. F4 » Ses amis d'enfance, Rui est celui dont il est le plus proche. Mais il ferait n'importe quoi pour chacun d'entre eux. Kurushima Reiko » Une amie de longue dates qui revient une fois encore, mais cette fois vers lui, et avec un petit bout Michio il tombe sous le charme du bonhomme et aide son amie avec ses problèmes. Elle l'aide de son côté à découvrir la raison de la fuite de sa petite-amie. Izumi Rina » Cette fille cache quelque chose il en est certain. Il le voit dans le genre de regard qu'elle lance à Aya. Et il découvrira ce que c'est coute que coute.
Dernière édition par Tsukasa Dômyôji le Ven 21 Aoû - 14:06, édité 2 fois
Tsukasa Dômyôji
Messages : 133 Love : Love is Ayako, Love is Only Her Âge du personnage : As long As « we » are, I'll be alright!
Naître une cuillère d'argent dans la bouche... Voilà l'expression qui dirige le jour où Tsukasa Dômyoji a vu le jour. Autant vous le dire de suite, ce qu'il suit de ses premiers jours ne sera pas bercer dans l'amour familial. Vous allez sûrement penser qu'il n'est pas à plaindre mais, ce qu'il vous sera demandé sera seulement et uniquement de comprendre comment on en arrive à aujourd'hui.
Passons l'enfance belle et ponctuée de colères déjà de Tsukasa en compagnie de ses quatre amis : Rui, Sôjiro, Akira et Reiko. Déjà petit il faisait sa loi, entendait ce qu'il voulait et vivait sans la présence de sa mère auprès de lui. Alors débrouillons-nous comme on peut. Commença alors les premières colères certes, mais aussi bagares du japonais. Personne pour lui dire que c'est réellement mal ? Continuons donc alors ! Le collège ne le rendit que plus capricieux et seule sa soeur calmait ses ardeurs ! Là, sa prétention et sa fierté alimentée par son égo ne faisait que grandir étouffant le reste alors que cet enfant demandait seulement attention. C'est sa Onee-chan qui lui donna seule de l'amour bien qu'il s'en cachait fortement ! Il aimait d'ailleurs beaucoup son attention et tissait des liens privilégiés avec elle. Alors imaginez son sentiment quand elle quitta le pays pour se marier à quelqu'un que Dômyoji Kaede avait choisit pour elle. Un fossé de plus entre les enfants et la femme, et une distance trop difficile entre la soeur et le frère. Alors le lycée fut une terrible période : Tsukasa Dômyoji est un tyran de première n'hésitant pas à taper sur n'importe qui pour n'importe quel prétexte comme une chemise tâchée. Même par la plus petite goutte qu'il soit. Cela méritait un carton rouge : la déclaration de guerre du F4 qui pousse tout le lycée à malmener celui qui la reçoit, ils s'en donnent d'ailleurs à coeur joie ! Si après ça, ce n'est pas suffisant, l'un d'entre eux se chargeait de faire subir une humiliation terrible au/à la concerné(e). Mais l'exemple de la chemise tâchée n'est pas anodin : Ayako Kato avait fait cette terrible erreur et scella leurs destins. Seulement, première fille victime, première victime à se révolter autant. Celle-ci témoignant un intérêt pour le caractère du chef du F4 et manifestant la drôle d'envie de vouloir le changer ou le découvrir : une gifle. Quel drôle de moyen de témoigner tout ça n'est-ce pas ? Pourtant, il en resta givré. Une fête arrangée pour les rapprocher (à croire que tout le monde s'y met - fête qui tourna au fiasco soit dit en passant) et le voilà à la défendre sans savoir pourquoi. Une chambre à partager et voilà qu'il lui avoue déjà l'aimer.
[ But It's all about past, go on ! ]
Reprenons donc le cours de sa vie où tout allait si bien que normalement il aurait dû le savoir… Vous savez, ces moments où tout va trop bien pour que ça ne puisse durer éternellement… Ces moments où l’on se dit « Non, ça ne peut pas durer » mais tellement on est heureux qu’on ne peut faire autrement que vouloir profiter de ces jours heureux. A la fin de sa dernière année à Hana, Tsukasa Dômyoji n’avait plus rien du riche prétentieux, de l’enfant gâté et du sadique tyran qu’il était auparavant. De toute façon, il n’avait pas assez de temps pour s’occuper des autres, préférant de loin accorder ses occupations à Ayako.
[ « I don’t need anyone else, it’s only you When you ask again, it’s only you » ]
Un nouvel optique s'ouvrait devant Tsukasa, une perspective plus enthousiaste qui ne se centrait que sur lui et elle. Seulement le premier point d’ombre pointait le bout de son nez déjà : la vieille sorcière. Surnom affectueux – car mes sarcasmes sont à la hauteur de Dômyoji, comprenez l’ironie donc du terme « affectueux » – destiné à sa génitrice. Celle-ci se fichait pas mal de ce que pouvait ressentir son fils pour la fille des Kato. En fait, plutôt que de penser à son fils comme se le doit une mère, elle pensa uniquement à l’héritier telle une femme d’affaire, reniant définitivement son rôle maternel. A ce jour, c’est comme si le malheur devait s’abattre sur le jeune couple. Que voulait-elle de plus qu’elle n’avait déjà ? Ce n’était pas comme si Ayako n’était pas riche ! Mais seulement la femme avait des projets plus intéressants pour le groupe Dômyoji ! Qu’est-ce qu’il s’en fichait lui. Il la cru bien capable de le déshérité s’il n’avait pas été le seul fils et seul enfant apte alors à reprendre l’affaire. Alors les premières pressions se firent sentir. D’abord les simples menaces et piques habituelles que le fils connaissait si bien malheureusement, rien ne l’atteignant plus que ça alors. Après tout : il ne comptait pas renoncer à elle.
[ « Oh whatever anyone anyone says, it doesn’t matter to me Oh whoever whoever curses me, I’ll only look at you » ]
« Peu importe qui, peu importe qui me maudit, je ne regarderai que toi » hum ? Et bien même si cette personne était sa mère il fallait croire. Elle s’en prit même directement à Ayako et sa famille ou tenta du moins. Et sa seule réponse fut d’une sagesse et d’un responsable que jamais elle ne put lui connaitre, connaissant si mal son propre enfant. Il doubla d’intérêt par rapport à l’entreprise familiale, décrocha les résultats attendus d’un héritier de sa trempe, en vint même à sa première affaire… son premier contrat si on veut : avec sa mère convenant de son parcours scolaire et ses études pour enfin pouvoir vivre son histoire avec la japonaise.
[ « Even as time goes by {It’s you} » ]
Cela prit une année entière… Dire que durant tout ce temps, à travers ces dures épreuves, jamais elle ne le lâcha, jamais. « Parce qu’on est de Saturne » Même si ces temps furent d’une dureté sans précédent, il n’en résultat que du bon et un flot de bonheur ne pouvait que de nouveau s’emparer du jeune homme. Allons, il en sortait trois fois plus mûr qu’auparavant. Il avait donné autant à Ayako qu’à sa mère les preuves de son amour pour la nippone, et elle en avait fait autant. C’était là suffisant pour s’affirmer à lui-même la vérité de leur relation… Mieux qu’un jeune homme responsable, il devenait progressivement un homme capable.
[ « It’s you » ]
Alors aucun doute en lui : c’était elle et personne d’autre. Il lui fit alors sa demande de fiançailles. Sourire aux lèvres, bonheur dans l’âme et le cœur surtout, n’attendant qu’un simple mot, une simple réponse. Le simple et si signifiant « oui » qui passa ses douces lèvres. Et voilà que Tsukasa Dômyoji était un homme fiancé à celle qu’il n’a jamais cessé d’aimé depuis ce jour aussi idiot qu’heureux où ils ont scellé pour la première fois leurs liens dans ce « stupide bungalow » ! Voilà de quoi prouver à la vieille que rien ne les arrêterait à présent et peut-être même qu'elle finirait par s'y faire ! L'année ne pouvait que trop bien s'annoncer, non ? Allons, il était l'homme le plus heureux de cette planète, tellement que ça en était indécent d'être aussi heureux et d'avoir autant de chance que lui à cet instant.
Après quelques temps où chacun durent travailler bien entendu et vivre de toute évidence, Tsukasa organisa une fête. Ce dans l'unique but d'officialiser leur engagement à tous deux. Il y repense encore : rien était trop précipité, les mois précédents n'avaient été que bonheur et entente. Il n'avait rien fait allant de travers, alors que redouter ? Rien, elle avait déjà accepté non ? Alors pourquoi il y aurait-il un souci ? Le jour de la fête venue pourtant, les premières sueurs froides se firent sentir au bout de quelques minutes. Vint ensuite une heure, à attendre qu'enfin celle qui lui est destinée. Et déjà sa mère montrait son air irrité, lui soufflant ses premières remarques acides mais lui, il s'en fichait bien : elle était juste en retard comme toujours, elle allait venir. « Tu fous quoi, baka ! »
[ « I call, even though I call for you, And there’s no reply, I’ll wait for you » ]
Oui mais voilà. La fête passa et s'arrêta quand la conscience de Tsukasa n'en put plus. Il avait assez attendu : maintenant si elle venait pas, elle avait peut-être ses raisons, mais en tout cas il irait la chercher. Passant outre son choc et essayant de ne pas entendre les mots de sa mère jubilant intérieurement pensant sûrement qu'elle avait eu raison depuis le début ! Mais oui, il alla voir ni une, ni deux la jeune fille lui demandant pourquoi elle n'était pas venue. Mais rien. Elle ne donna aucune raison. Quoi ? C'était tout. Elle venait d'ouvertement éviter leur fiançailles publiques et elle n'avait aucune raison ? Très bien. Alors ça s'arrêterait comme ça ? Si elle n'avait pas de raisons de lui avoir causé tant de soucis c'était que sciemment elle venait de mettre fin à tout. Et le lendemain ne fut que le début de cette fin. Blessé, rien qu'un regard envers elle le rendait fou, sa voix le rendrait malade, alors Tsukasa l'ignora. Pire, très vite il se renferma. Mais au fond, il voulait croire qu'elle lui donnerait cette fichue raison, qu'elle disait que c'était sa mère qui était derrière tout ça, qu'elle avait eu quelque chose. Mais rien arriva jamais alors la colère remplaça le vide de son coeur et prit place de l'espoir qui fuyait.
[ « My lips, cold as can be, are even more blue. I cry out to find to find your warmth » ]
C'est comme devenir fou et faire semblant de l'être pour cacher qu'on l'est. Bizarre n'est-ce pas ? Et pourtant c'était tout comme. Plus personne ne pouvait le raisonner et il redevenait quelqu'un qui semblait avoir désherté ce monde : le tyran Dômyoji d'auparavant. Alors que personne ne peut l'atteindre dans sa détresse revient Reiko. A cet instant de sa vie, il avait un état d'esprit peu clair mais il comprit nettement que son amie avait besoin de lui. Il n'avait pas besoin de réfléchir pour ça : il allait agir. Mais, c'était sans compter son premier givre : Reiko et un bébé ? Attendez, il avait raté quelque chose c'était certain. Ce n'était quand même son enfant, Michio ? Pas l'enfant de ce Jin Yang quand même hein ?! Pas avec cette ressemblance avec Rui, hein ? Ah ? C'était l'enfant de Rui ? Oh, d'accord. QUOI ?! Réaction dans l'esprit de Tsukasa, digne de lui ! Mais, les questions se bousculaient : et Rui ? Jamais le roux ne lui en avait parlé, sûrement trop occupé à démonter quelques têtes ! Mais de là à omettre son enfant. Mais les temps d'interventions vinrent et après maintes explications et arrangements, sa fidèle amie retrouvait liberté d'engagement. Tout autant pour Jin Yang. Alors maintenant tout ce qu'il peut espéré c'est que ça se représente bien pour elle et éventuellement Rui aussi. Seulement, tout semble si compliqué de son côté aussi et avec une bouche à nourrir rien est facile. Alors autant il veut l'aider, autant elle en fait autant pour lui. Pff ! Cette vie ressemble soudain à un enfer.
Paroles entre crochets et guillemets :: Super Junior - It's you | Traduction
III- HORS RP Surnom: #4 ou 004 (nouveau forum, nouveaux pseudos) Âge: Argh ! Between 16 and 19... Bon ok, 17 années x) Pays: France hélas Comment tu trouves le forum ?: Magnifique design, bonne idée pour le contexte, j'aime toujours autant ! Et si je peux en plus embêter Reiko ce serait que meilleur x) Comment as tu connus le forum ?: By Flower Four number 1 Level de RP: J'en sais trop rien mais vous savez à peu près ce que je fais non ? xP
Code: Shiroi Personnalité sur l'avatar : Matsumoto Jun
Dernière édition par Tsukasa Dômyôji le Ven 21 Aoû - 14:06, édité 3 fois
Reiko Kurushima
Messages : 452 Love : Michio mon ange Âge du personnage : ^0^